Dernières rumeurs concernant la nouvelle équipe ministérielle

par **Anaëlle** Mar 10 Sep 2024 - 16:50

Mise à jour des ragots et bruits de couloir sur le sujet...

Du gouvernement sortant, deux ministres ont de grandes chances de rester en place : Sébastien Lecornu aux Armées et Stéphane Séjourné aux Affaires étrangères, portefeuilles intégrés au domaine réservé du président de la République.

Pour l’éducation nationale, Annie Genevard (Droite Républicaine) semble tenir la corde.

Antoine Vermorel-Marques brigue l’Ecologie. Le titulaire actuel du poste Christophe Béchu, très proche de Branier, garderait bien un portefeuille, mais pas celui qu'il occupe.

Nunez à l’Intérieur "serait clairement logique", mais deux poids lourds de LR s'y verraient bien: Bruno Retailleau et Laurent Wauquier. Hors Républicains, un autre nom circule : celui de Thibault de Montbrial, président du centre de réflexion sur la sécurité intérieure.

La Santé pourrait revenir au député DR (ex-LR) Philippe Juvin, mais il est en concurrence avec Catherine Vautrin.

Rachida Dati pourrait conserver la Culture.

Pour l’Energie, un nom est cité : Raphaël Schellenberger, député DR du Haut-Rhin.

Vice-président de la Droite Républicaine au Sénat, Sophie Primas serait poussée par Gérard Larcher pour le ministère de l’Agriculture.

Quant au sénateur RDPI, ex-LREM, Jean-Baptiste Lemoyne, serait en grosse tractation pour le ministère des Relations avec le Parlement.

Olivier Marleix, également proche de Barnier, vise haut: Garde des Sceaux.

Charles Consigny, communicant pour la campagne à LR et chroniqueur à RMC pourrait être porte-parole.

Sur le ministère de l’Immigration, il faut d'abord régler l’idée de son éventuelle reconstitution avant de nommer un ministre....

Contrairement aux annonces de Barnier, il reste de fait peu de place pour des ministres de gauche, qui à mon sens n'ont rien à faire dans ce gouvernement et n'y apporteront rien. Le nom du trublion Arnaud Montebourg circule encore. Karim Bouamrane a décliné la proposition d’entrer au gouvernement, de même que Bernard Cazeneuve.

Enfin, Manuel Valls, l'anti-LFI, se dit « ni ouvert, ni fermé ».