C'est encore de la faute à Poutine et au RN, une honte!

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Laure34 a écrit:Déjà pourquoi accepter de signer un  bail de 10 mois????

Jean-bibitrognon a écrit:

Laure34 a écrit:Déjà pourquoi accepter de signer un  bail de 10 mois????

Ca existe ça? Un doute.
Si ça existe, peut-être qu'elle n'avait pas le choix.

Laure34 a écrit:

Jean-bibitrognon a écrit:

Ca existe ça? Un doute.
Si ça existe, peut-être qu'elle n'avait pas le choix.

En principe des meublés, qui donnent plus de libertés aux Loueurs!

Et je peux vous dire dans la famille nous avons un cousin qui a un petit immeuble de 8 appartements, 2 commerces, 4 garages! et 3 villas, je serais à sa place je vends tout! dans l'immeuble les loyers impayés, automatiquement huissier, justice, etc!!! les villas, une la locataire agée est décédée, les enfants, n'ont pas résilié, ni déménagé, et naturellement ne paient pas cela fait un an, donc encore le système!

Mrphelps a écrit:Y a une crise de logement qui vas devenir de plus en plus fort avec les année qui viennent. Ils font rien pour investir en masse dans de nouveau logement alors que ça peut être un facteur de richesse d offre d emploie non delocalisable . Devrai avoir un ministère du logement avec des 100 ene voire des million dans des pays plus gros comme la France de construction et les louer à bas prix ça ferai gagner du pouvoir d achat et diminuer les loyer chez les privé vu que tout fonctionne à l offre et la demande :mf_popco-f32a:

Jean-bibitrognon a écrit:

Laure34 a écrit:

En principe des meublés, qui donnent plus de libertés aux Loueurs!

Et je peux vous dire dans la famille nous avons un cousin qui a un petit immeuble de 8 appartements, 2 commerces, 4 garages! et 3 villas, je serais à sa place je vends tout! dans l'immeuble les loyers impayés, automatiquement huissier, justice, etc!!! les villas, une la locataire agée est décédée, les enfants, n'ont pas résilié, ni déménagé, et naturellement ne paient pas cela fait un an, donc encore le système!

Compte tenu de votre patrimoine familiale, je comprends maintenant votre attachement à Macron. :rigolo-2908:
Je note quand même une lueur de lucidité, vous avez souligné le fonctionnement du "système".
Il me semble au passage que Macron fait tout pour que les proprio vendent....du coup, ils font quoi du pognon? Ils le placent en bourse, sur un livret A,....?

Mrphelps a écrit:Y a une crise de logement qui vas devenir de plus en plus fort avec les année qui viennent. Ils font rien pour investir en masse dans de nouveau logement alors que ça peut être un facteur de richesse d offre d emploie non delocalisable . Devrai avoir un ministère du logement avec des 100 ene voire des million dans des pays plus gros comme la France de construction et les louer à bas prix ça ferai gagner du pouvoir d achat et diminuer les loyer chez les privé vu que tout fonctionne à l offre et la demande :mf_popco-f32a:

Laure34 a écrit:

Jean-bibitrognon a écrit:

Compte tenu de votre patrimoine familiale, je comprends maintenant votre attachement à Macron. :rigolo-2908:
Je note quand même une lueur de lucidité, vous avez souligné le fonctionnement du "système".
Il me semble au passage que Macron fait tout pour que les proprio vendent....du coup, ils font quoi du pognon? Ils le placent en bourse, sur un livret A,....?

Naturellement pour vouloir vite critiquer, vous n'avez même pas compris, "ce n'est pas nous qui avons de l'immobilier en location, mais UN COUSIN, qui a des enfants!" perso nous sommes propriétaires effectivement, mais rien en location,  notre maison, et appartement à la mer, que nous prêtons à la famille mais n'avons jamais loué, et ne louerons jamais!

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Excalibur a écrit:

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Quel raisonnement de primate !!

Mina a écrit:

Excalibur a écrit:


Quel raisonnement de primate !!

Non! Réflexe.pas raisonnement

Jean-bibitrognon a écrit::rigolo-2908:

Margarita Avakian et sa fille sont forcées de quitter leur appartement à la fin du mois de juin. Le propriétaire, dans son bon droit, souhaite le louer pour la saison estivale à des prix plus attractifs.

La crise du logement frappe de plein fouet les étudiants, les ménages aux revenus modestes, mais également les familles de réfugiés. C'est le cas de Margarita Avakian et de sa fille qui vivent dans un petit appartement à Royan.

"Je suis triste et fatiguée"
Il y a quelques semaines, le propriétaire de son logement lui a dit de trouver une autre solution pour trouver un toit. Son contrat de location de dix mois se termine à la fin du mois. Pour le moment, elle n'a pas trouvé d'appartement et commence à désespérer. "J'ai contacté le CCAS, la mairie de Royan... Mais ils n'ont pas de solutions pour moi pour le moment", évoque celle que l'on surnomme Rita. "Je suis triste et fatiguée... Je demande juste un petit appartement pour moi et ma fille".

Elle souhaite rester dans cette ville, car sa fille est à l'école à Royan. "Elle est habituée ici, elle ne veut pas déménager", explique Margarita Avakian. Cette mère de famille ukrainienne n'a pas beaucoup de moyens financiers pour se procurer un logement : "je touche les APL, qui sont environ de 350 euros, et j'ai aussi une aide du gouvernement. Cela me permet de payer mon loyer."

Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire.
Rita
Mère de famille

Rita a déjà effectué des visites d'appartement. Les démarches administratives, parfois complexes, rendent compliqué de trouver un logement pour des étrangers. "Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire. J'ai un garant, qui est un ami, mais qui ne gagne pas beaucoup d'argent", constate-t-elle. Étant donné qu'elle n'a pas de logement, elle ne veut pas s'engager dans un travail si elle doit annoncer à la personne qui l'a recruté qu'elle s'en va au bout de quelques semaines pour un déménagement.

Une crise de logement sur la façade atlantique
Rita et sa fille sont loin d'être un cas isolé. Ce problème de logement est de plus en plus fréquent sur la côte atlantique. Selon Muriel Boulmier, présidente de l'Union Régionale HLM de la région Nouvelle-Aquitaine, ce qui est rare, est cher. "Cette problématique est encore plus saillante sur la façade atlantique : on a une demande d'hébergement pour les saisonniers très forte, mais également pour les logements sociaux. On a une vraie pénurie de logements à prix abordable", constate-t-elle.

Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes.
Muriel Boulmier
Présidente de l'Union Régionale HLM Nouvelle-Aquitaine

Construire de nouveaux logements n'est pas une tâche simple. L'augmentation des coûts de construction, lié à la hausse des prix des matières premières, ainsi que la montée du taux de livret A, passant de 0,5 % à 3 %, freinent l'investissement des bailleurs sociaux. "Le premier constat est que l'on a jamais connu une telle crise de logement en France. Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes", révèle Muriel Boulmier.

Ces difficultés peuvent avoir des répercussions sur l'emploi, mais ce n'est pas le cas dans la Région Nouvelle-Aquitaine, d'après la présidente de l'Union régionale HLM. "Si je prends l'exemple de la ville de La Rochelle, il est plus facile de trouver un travail qu'un logement. Le littoral atlantique est très pourvoyeur d'emploi de manière générale."

Selon l'Union sociale pour l'habitat, on estimait à près de 2,4 millions, les demandes de logements sociaux non encore pourvues sur l'année 2022. Selon le journal Les Échos, entre fin mars 2023 et fin mars dernier, 283 200 logements neufs ont été mis en chantier en France. La Fédération des promoteurs immobiliers estimait, qu'en 2023, qu'il était nécessaire de construire chaque année 447 000 logements, et ce, pendant dix ans.

Un long voyage avant d'arriver à Royan
Margarita Avakian vivait autrefois dans la ville de Kostiantynivka, à l'est de l'Ukraine, coincée entre Donetsk, Bakhmout et Kramatorsk. "J'étais manager dans un magasin d'électroménager", ajoute-t-elle. À la fin du mois de février 2022, les troupes russes envahissent le pays au nord, au sud, mais surtout à l'est, dont la région du Donbass où vivait Rita.

C'était trop dangereux de rester.
Rita
Mère de famille en recherche de logement

La fuite de son pays demeure inévitable pour cette mère et sa fille. "C'était trop dangereux de rester", dévoile Rita. Partir le plus loin possible de chez soi était l'unique solution. Débute alors un voyage périlleux à travers le continent européen : "On a pris le train, le bus, la voiture... On a fait un très long voyage pendant une semaine. On s'est arrêté en Pologne, puis en Allemagne..." avant d'arriver en France, dans un petit village des Landes.

Après six mois de vie sur la côte landaise, Rita et sa fille débarquent à Royan, en Charente-Maritime. "C'est grâce à la connaissance d'un ami, Christophe, que j'habite ici", raconte-t-elle. La plupart de ses journées, Rita se rend à la salle de sport pour garder une certaine forme, prend des cours de français et dévore des bouquins dans son appartement. Malheureusement, ce petit cocon ne sera plus le sien à la fin du mois de juin.

FONTSESTIAN a écrit:

Jean-bibitrognon a écrit::rigolo-2908:

Margarita Avakian et sa fille sont forcées de quitter leur appartement à la fin du mois de juin. Le propriétaire, dans son bon droit, souhaite le louer pour la saison estivale à des prix plus attractifs.

La crise du logement frappe de plein fouet les étudiants, les ménages aux revenus modestes, mais également les familles de réfugiés. C'est le cas de Margarita Avakian et de sa fille qui vivent dans un petit appartement à Royan.

"Je suis triste et fatiguée"
Il y a quelques semaines, le propriétaire de son logement lui a dit de trouver une autre solution pour trouver un toit. Son contrat de location de dix mois se termine à la fin du mois. Pour le moment, elle n'a pas trouvé d'appartement et commence à désespérer. "J'ai contacté le CCAS, la mairie de Royan... Mais ils n'ont pas de solutions pour moi pour le moment", évoque celle que l'on surnomme Rita. "Je suis triste et fatiguée... Je demande juste un petit appartement pour moi et ma fille".

Elle souhaite rester dans cette ville, car sa fille est à l'école à Royan. "Elle est habituée ici, elle ne veut pas déménager", explique Margarita Avakian. Cette mère de famille ukrainienne n'a pas beaucoup de moyens financiers pour se procurer un logement : "je touche les APL, qui sont environ de 350 euros, et j'ai aussi une aide du gouvernement. Cela me permet de payer mon loyer."

Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire.
Rita
Mère de famille

Rita a déjà effectué des visites d'appartement. Les démarches administratives, parfois complexes, rendent compliqué de trouver un logement pour des étrangers. "Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire. J'ai un garant, qui est un ami, mais qui ne gagne pas beaucoup d'argent", constate-t-elle. Étant donné qu'elle n'a pas de logement, elle ne veut pas s'engager dans un travail si elle doit annoncer à la personne qui l'a recruté qu'elle s'en va au bout de quelques semaines pour un déménagement.

Une crise de logement sur la façade atlantique
Rita et sa fille sont loin d'être un cas isolé. Ce problème de logement est de plus en plus fréquent sur la côte atlantique. Selon Muriel Boulmier, présidente de l'Union Régionale HLM de la région Nouvelle-Aquitaine, ce qui est rare, est cher. "Cette problématique est encore plus saillante sur la façade atlantique : on a une demande d'hébergement pour les saisonniers très forte, mais également pour les logements sociaux. On a une vraie pénurie de logements à prix abordable", constate-t-elle.

Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes.
Muriel Boulmier
Présidente de l'Union Régionale HLM Nouvelle-Aquitaine

Construire de nouveaux logements n'est pas une tâche simple. L'augmentation des coûts de construction, lié à la hausse des prix des matières premières, ainsi que la montée du taux de livret A, passant de 0,5 % à 3 %, freinent l'investissement des bailleurs sociaux. "Le premier constat est que l'on a jamais connu une telle crise de logement en France. Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes", révèle Muriel Boulmier.

Ces difficultés peuvent avoir des répercussions sur l'emploi, mais ce n'est pas le cas dans la Région Nouvelle-Aquitaine, d'après la présidente de l'Union régionale HLM. "Si je prends l'exemple de la ville de La Rochelle, il est plus facile de trouver un travail qu'un logement. Le littoral atlantique est très pourvoyeur d'emploi de manière générale."

Selon l'Union sociale pour l'habitat, on estimait à près de 2,4 millions, les demandes de logements sociaux non encore pourvues sur l'année 2022. Selon le journal Les Échos, entre fin mars 2023 et fin mars dernier, 283 200 logements neufs ont été mis en chantier en France. La Fédération des promoteurs immobiliers estimait, qu'en 2023, qu'il était nécessaire de construire chaque année 447 000 logements, et ce, pendant dix ans.

Un long voyage avant d'arriver à Royan
Margarita Avakian vivait autrefois dans la ville de Kostiantynivka, à l'est de l'Ukraine, coincée entre Donetsk, Bakhmout et Kramatorsk. "J'étais manager dans un magasin d'électroménager", ajoute-t-elle. À la fin du mois de février 2022, les troupes russes envahissent le pays au nord, au sud, mais surtout à l'est, dont la région du Donbass où vivait Rita.

C'était trop dangereux de rester.
Rita
Mère de famille en recherche de logement

La fuite de son pays demeure inévitable pour cette mère et sa fille. "C'était trop dangereux de rester", dévoile Rita. Partir le plus loin possible de chez soi était l'unique solution. Débute alors un voyage périlleux à travers le continent européen : "On a pris le train, le bus, la voiture... On a fait un très long voyage pendant une semaine. On s'est arrêté en Pologne, puis en Allemagne..." avant d'arriver en France, dans un petit village des Landes.

Après six mois de vie sur la côte landaise, Rita et sa fille débarquent à Royan, en Charente-Maritime. "C'est grâce à la connaissance d'un ami, Christophe, que j'habite ici", raconte-t-elle. La plupart de ses journées, Rita se rend à la salle de sport pour garder une certaine forme, prend des cours de français et dévore des bouquins dans son appartement. Malheureusement, ce petit cocon ne sera plus le sien à la fin du mois de juin.

Et pourquoi devient il de plus en plus difficile de louer? Mais parce que les proprios préfèrent se gaver en quelques semaines avec AIRBNB que de s'emmerder l'existence avec des locataires à l'année.

FONTSESTIAN a écrit:

Jean-bibitrognon a écrit::rigolo-2908:

Margarita Avakian et sa fille sont forcées de quitter leur appartement à la fin du mois de juin. Le propriétaire, dans son bon droit, souhaite le louer pour la saison estivale à des prix plus attractifs.

La crise du logement frappe de plein fouet les étudiants, les ménages aux revenus modestes, mais également les familles de réfugiés. C'est le cas de Margarita Avakian et de sa fille qui vivent dans un petit appartement à Royan.

"Je suis triste et fatiguée"
Il y a quelques semaines, le propriétaire de son logement lui a dit de trouver une autre solution pour trouver un toit. Son contrat de location de dix mois se termine à la fin du mois. Pour le moment, elle n'a pas trouvé d'appartement et commence à désespérer. "J'ai contacté le CCAS, la mairie de Royan... Mais ils n'ont pas de solutions pour moi pour le moment", évoque celle que l'on surnomme Rita. "Je suis triste et fatiguée... Je demande juste un petit appartement pour moi et ma fille".

Elle souhaite rester dans cette ville, car sa fille est à l'école à Royan. "Elle est habituée ici, elle ne veut pas déménager", explique Margarita Avakian. Cette mère de famille ukrainienne n'a pas beaucoup de moyens financiers pour se procurer un logement : "je touche les APL, qui sont environ de 350 euros, et j'ai aussi une aide du gouvernement. Cela me permet de payer mon loyer."

Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire.
Rita
Mère de famille

Rita a déjà effectué des visites d'appartement. Les démarches administratives, parfois complexes, rendent compliqué de trouver un logement pour des étrangers. "Ce n'est pas facile parce qu'il y a plein de papiers à faire. J'ai un garant, qui est un ami, mais qui ne gagne pas beaucoup d'argent", constate-t-elle. Étant donné qu'elle n'a pas de logement, elle ne veut pas s'engager dans un travail si elle doit annoncer à la personne qui l'a recruté qu'elle s'en va au bout de quelques semaines pour un déménagement.

Une crise de logement sur la façade atlantique
Rita et sa fille sont loin d'être un cas isolé. Ce problème de logement est de plus en plus fréquent sur la côte atlantique. Selon Muriel Boulmier, présidente de l'Union Régionale HLM de la région Nouvelle-Aquitaine, ce qui est rare, est cher. "Cette problématique est encore plus saillante sur la façade atlantique : on a une demande d'hébergement pour les saisonniers très forte, mais également pour les logements sociaux. On a une vraie pénurie de logements à prix abordable", constate-t-elle.

Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes.
Muriel Boulmier
Présidente de l'Union Régionale HLM Nouvelle-Aquitaine

Construire de nouveaux logements n'est pas une tâche simple. L'augmentation des coûts de construction, lié à la hausse des prix des matières premières, ainsi que la montée du taux de livret A, passant de 0,5 % à 3 %, freinent l'investissement des bailleurs sociaux. "Le premier constat est que l'on a jamais connu une telle crise de logement en France. Sur la région Nouvelle-Aquitaine, nous avons 9 000 projets d'autorisation de construction de logements sociaux pour 178 000 demandes", révèle Muriel Boulmier.

Ces difficultés peuvent avoir des répercussions sur l'emploi, mais ce n'est pas le cas dans la Région Nouvelle-Aquitaine, d'après la présidente de l'Union régionale HLM. "Si je prends l'exemple de la ville de La Rochelle, il est plus facile de trouver un travail qu'un logement. Le littoral atlantique est très pourvoyeur d'emploi de manière générale."

Selon l'Union sociale pour l'habitat, on estimait à près de 2,4 millions, les demandes de logements sociaux non encore pourvues sur l'année 2022. Selon le journal Les Échos, entre fin mars 2023 et fin mars dernier, 283 200 logements neufs ont été mis en chantier en France. La Fédération des promoteurs immobiliers estimait, qu'en 2023, qu'il était nécessaire de construire chaque année 447 000 logements, et ce, pendant dix ans.

Un long voyage avant d'arriver à Royan
Margarita Avakian vivait autrefois dans la ville de Kostiantynivka, à l'est de l'Ukraine, coincée entre Donetsk, Bakhmout et Kramatorsk. "J'étais manager dans un magasin d'électroménager", ajoute-t-elle. À la fin du mois de février 2022, les troupes russes envahissent le pays au nord, au sud, mais surtout à l'est, dont la région du Donbass où vivait Rita.

C'était trop dangereux de rester.
Rita
Mère de famille en recherche de logement

La fuite de son pays demeure inévitable pour cette mère et sa fille. "C'était trop dangereux de rester", dévoile Rita. Partir le plus loin possible de chez soi était l'unique solution. Débute alors un voyage périlleux à travers le continent européen : "On a pris le train, le bus, la voiture... On a fait un très long voyage pendant une semaine. On s'est arrêté en Pologne, puis en Allemagne..." avant d'arriver en France, dans un petit village des Landes.

Après six mois de vie sur la côte landaise, Rita et sa fille débarquent à Royan, en Charente-Maritime. "C'est grâce à la connaissance d'un ami, Christophe, que j'habite ici", raconte-t-elle. La plupart de ses journées, Rita se rend à la salle de sport pour garder une certaine forme, prend des cours de français et dévore des bouquins dans son appartement. Malheureusement, ce petit cocon ne sera plus le sien à la fin du mois de juin.

Et pourquoi devient il de plus en plus difficile de louer? Mais parce que les proprios préfèrent se gaver en quelques semaines avec AIRBNB que de s'emmerder l'existence avec des locataires à l'année. Cette femme chassée de son pays par l'impérialisme de Poutine est aujourd'hui victime de la rapacité de certains français.

Jean-bibitrognon a écrit:

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Pour mémoire, c'est Macron qui est président depuis 7 ans.
Encore une illustration de sa magnifique gestion.

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Pat a écrit:

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Pouvez-vous nous rappeler qui a loué l’appartement de Saint Denis. Il me semble qu’il s’appelait Jawad … un FN/RN ?

Avec des locataires pareils, le « pauvre Jawad » a perdu beaucoup d’argent… il va être moins facile à louer maintenant

Pat a écrit:

Dede 2B a écrit:Ce sont des immigrés d'après leur nom !
Le proprio marchand de sommeil doit voté FN/RN

Pouvez-vous nous rappeler qui a loué l’appartement de Saint Denis. Il me semble qu’il s’appelait Jawad … un FN/RN ?

Avec des locataires pareils, le « pauvre Jawad » a perdu beaucoup d’argent… il va être moins facile à louer maintenant

Dede 2B a écrit:

Jean-bibitrognon a écrit:


Pour mémoire, c'est Macron qui est président depuis 7 ans.
Encore une illustration de sa magnifique gestion.

Donc il n'y a pas un propriétaire, je doute que Macron soit le proprio, les locations c'est pour la petite bourgeoisie ....

Pouvez-vous nous rappeler qui a loué l’appartement de Saint Denis. Il me semble qu’il s’appelait Jawad … un FN/RN ?

Dede 2B a écrit:

Pouvez-vous nous rappeler qui a loué l’appartement de Saint Denis. Il me semble qu’il s’appelait Jawad … un FN/RN ?

St Denis c'est là ou est né Bardella , non ? (*)
En matière de criminel la bande des Lousteau (RN) en as (ou avait ) quelques uns, j'en connais même 1!

(*) L’enfance de Jordan Bardella à Saint-Denis, du mythe à la réalité
La tête de liste du Rassemblement national aux européennes du 9 juin a passé une partie de sa jeunesse à Saint-Denis. Parmi ceux qui l’ont côtoyé à l’époque, amis ou camarades du lycée privé où il donnait des cours de français aux migrants, son engagement politique surprend encore.

Poly a écrit:

Pat a écrit:

Pouvez-vous nous rappeler qui a loué l’appartement de Saint Denis. Il me semble qu’il s’appelait Jawad … un FN/RN ?

Avec des locataires pareils, le « pauvre Jawad » a perdu beaucoup d’argent… il va être moins facile à louer maintenant

Heureusement que tout le monde n'est pas comme Jawad ! A Etretat, nous pouvons remercier Xavier Beauvois qui n'est pas comme Jawad : si vous ne savez pas qui c'est, c'est le cinéaste des Hommes et des Dieux, et il vient de tourner un film dans mon village.

Dede 2B a écrit:Donc Jawad a pu connaitre Bardella du RN.
En effet Jawad peut voter FN/RN, c'est pas marqué sur le front des marchands de sommeil!

Jean-bibitrognon a écrit:

Mrphelps a écrit:Y a une crise de logement qui vas devenir de plus en plus fort avec les année qui viennent. Ils font rien pour investir en masse dans de nouveau logement alors que ça peut être un facteur de richesse d offre d emploie non delocalisable . Devrai avoir un ministère du logement avec des 100 ene voire des million dans des pays plus gros comme la France de construction et les louer à bas prix ça ferai gagner du pouvoir d achat et diminuer les loyer chez les privé vu que tout fonctionne à l offre et la demande :mf_popco-f32a:

Ainsi ce serait à l'état de financer le logement? Donc de l'imposition supplémentaire?