Voile interdit au lycée : un proviseur menacé de mort sur les réseaux sociaux

Mercredi, le proviseur de l'établissement Maurice-Ravel, situé dans le XXe arrondissement de la capitale, a "rappelé à trois élèves l'obligation de retirer leur voile dans l'enceinte du lycée", explique le parquet de Paris.

Selon des informations d'Europe 1, confirmées par le parquet de Paris, une élève aurait refusé d'enlever son voile. "L'une d'elles, majeure et scolarisée en BTS, a ignoré le proviseur, ce qui a provoqué une altercation", poursuit-il.

Selon les services du ministère de l'Education, le proviseur a ensuite "entraîné vers la sortie de l'établissement" l'élève, qui a "résisté". "Devant la montée de tension et pour éviter l'altercation", le proviseur "s'est retiré et la police est intervenue."

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/voile-interdit-au-lycee-un-proviseur-menace-de-mort-sur-les-reseaux-sociaux-2933430.html

On est en route pour l'islamisation du pays.

C'est encore un faux problème qu'on a géré comme des daubes !!

A la base, c'était pas un souci, et on en a fait tout un plat, et du coup aujourd'hui, à part tirer dans le tas, on fait quoi ??

Tristan a écrit:uniformes pour tous

Menard l'a fait a Béziers !!

Tristan a écrit:uniformes pour tous

Oui, mais avec voile et babouches

Crapouille a écrit:C'est encore un faux problème qu'on a géré comme des daubes !!

A la base, c'était pas un souci, et on en a fait tout un plat, et du coup aujourd'hui, à part tirer dans le tas, on fait quoi ??

parce que c'est encore et encore les musulmans . il y a quelques années en arrière c'est les pantalon ( taille basse ) qu'on a interdit dans les écoles ce genre de pantalon ou les gens garçons ou filles montraient leur cul . Que ça en était génant dans les bus , les écoles partout . personne a été menacé de mort , marre de ces B....e !

Ne vous z'inquiétez pas, il veille



C'est pour cela qu'un uniforme pourrait être la solution mais qui va payer pour saper nos petits gris en admettant qu'ils acceptent de ressembler à des humains

ztylo a écrit:Ne vous z'inquiétez pas, il veille



C'est pour cela qu'un uniforme pourrait être la solution mais qui va payer pour saper nos petits gris en admettant qu'ils acceptent de ressembler à des humains  

A Béziers je crois que ça été partagé entre l'état et la mairie .

Europe 1

La ville de Béziers teste à partir de ce lundi la tenue unique pour plus de 700 élèves de quatre écoles. Robert Ménard, maire divers droite de la ville, se félicite de cette expérimentation. Le coût d'un uniforme est de 200 euros, répartis à égalité entre la ville et l'Etat.

Anaëlle a écrit:

ztylo a écrit:mais qui va payer  

Nous

Si c'est pour une bonne cause . Calmer tout le monde .

Suite de l'histoire :

"Depuis ces faits, des menaces de mort à l'encontre du proviseur ont été constatées en ligne. Le pôle national de lutte contre la haine en ligne s'est saisi de cette partie", explique le ministère public.

De son côté, le rectorat de Paris a indiqué que l'incident avait "été repris et détourné sur les réseaux sociaux, générant des propos diffamatoires et des menaces". "La situation est suivie depuis mercredi soir par le rectorat et les services de police", a-t-il ajouté.

Vendredi matin, l'entrée de la cité scolaire Maurice Ravel a été bloquée avec des poubelles par plusieurs dizaines de jeunes, arborant une banderole sur laquelle était écrit "élève frappée, lycée bloqué". Les cours ont été annulés pour la journée suite au blocus.


On est vachement mal, la situation est retournée, c'est la donzelle voilée qui prétend avoir été frappée, alors qu'elle a été examinée et qu'aucune trace de coups n'a été relevée.

Paulette a écrit:Suite de l'histoire :

"Depuis ces faits, des menaces de mort à l'encontre du proviseur ont été constatées en ligne. Le pôle national de lutte contre la haine en ligne s'est saisi de cette partie", explique le ministère public.

De son côté, le rectorat de Paris a indiqué que l'incident avait "été repris et détourné sur les réseaux sociaux, générant des propos diffamatoires et des menaces". "La situation est suivie depuis mercredi soir par le rectorat et les services de police", a-t-il ajouté.

Vendredi matin, l'entrée de la cité scolaire Maurice Ravel a été bloquée avec des poubelles par plusieurs dizaines de jeunes, arborant une banderole sur laquelle était écrit "élève frappée, lycée bloqué". Les cours ont été annulés pour la journée suite au blocus.


On est vachement mal, la situation est retournée, c'est la donzelle voilée qui prétend avoir été frappée, alors qu'elle a été examinée et qu'aucune trace de coups n'a été relevée.

On est mal de toute façon avec la musulmanerie , dans trente ans ( moi je serai foutu) mais la France sera musulmane ça fait bondir certains quand on le dit . Ca fait 60 ans qu'il grignotent grignotent pour empiéter un peu plus sur nos religions et nos moeurs . Et ils y arrivent avec l'aide des gauchistes élus et de toutes les assoces gauchisantes .

patatisanpatata a écrit:

On est mal de toute façon avec la musulmanerie , dans trente ans ( moi je serai foutu) mais la France sera musulmane ça fait bondir certains quand on le dit .  Ca fait 60 ans qu'il grignotent grignotent pour empiéter un peu plus sur nos religions et nos moeurs . Et ils y arrivent avec l'aide des gauchistes élus et de toutes les assoces gauchisantes .

Je le pense aussi.
Le rôle de ces associations est de plus en plus prépondérant, et avec les réseaux sociaux, le mal empire.
C'est insidieux, une infiltration quotidienne.
Voir le roman de Houellebecq, Soumission.
Le pire, c'est que même si l'extrême-droite passait, cela continuerait.

On doit s' apitoyer sur le sort du proviseur
démissionnaire.
On ne doit cependant pas oublier que durant des décennies, sa corporation, avec celle des professeurs, a vilipendé les lanceurs d’alerte, les rares sonneurs de tocsin, les visionnaires qui annonçaient ce que nous subissons aujourd’hui. Traités d’extrémistes, de pétainistes (travail, famille, Patrie, non mais quelles horreurs !) de fascistes et d’autres gracieusetés. Souvenons-nous de la pantalonnade orchestrée par le corps enseignant faisant descendre les jeunes élèves dans la rue pour protester contre la présence de Jean Marie Le Pen, présence voulue par les électeurs, au second tour de l' élection présidentielle de 2002.