Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
violette a écrit:Et t’as pas arrêté !
Mistique- Bonaparte
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
rouvrir les pensions , avec les sorties que pour les vacances ,
on y apprend les règles à suivre , l'éducation , les études , et la régularité sur le bien vivre à tout les registres
et personne ne glande dans les rues
Perle- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
entre les parents qui travaillent , et ceux qui ne s'en occupent pas ,sauf des allocations qui tombent sans s'emmerder , il faut sévir , où alors ,
se finir à la main ,
où faire le saut de l'ange
Perle- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Grâce à eux, j'ai eu une bonne situation.
Invité- Invité
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou, perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
Et, te sentant haï sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leur bouche folle,
Sans mentir toi-même d'un seul mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un Homme, mon fils.
Dede 2B- Bonaparte
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dan229 a écrit:Mes parents m'ont mis en pension durant toute ma scolarité. Même pendant les petites vacances, je restais au lycée.
Grâce à eux, j'ai eu une bonne situation.
J’ai vécu choyée et dorlotée au sein de ma famille sans jamais connaître ni pension ni colonies de vacances
J’avais tout à proximité : l’école, la salle de gymnastique, l’école de musique, le théâtre….
Élevée au sein d’une famille nombreuse aimante, sans gros besoins matériels, nous avons tous eu une belle situation
violette- Robespierre
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dan229 a écrit:Mes parents m'ont mis en pension durant toute ma scolarité. Même pendant les petites vacances, je restais au lycée.
Grâce à eux, j'ai eu une bonne situation.
moi c'est pareil ,ma seule sortie était Juillet aout de l'âge de 3 ans à 17 ans non stop
et , j'en suis pas morte , bien au contraire , ça ouvre des portes à la sortie
Perle- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Dede 2B- Bonaparte
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Dede 2B a écrit:Moi c'était la colo, colo municipale tenue par...nos instituteurs!
je n'ai jamais connu les colos , la pension , c'était avec les Soeur de la Charité , nous étions 200 pensionnaires ,
3 dortoirs , et 40 box pour les philos ,4 cours de récrée , une chapelle évidement ,
les vacances je les passais avec mes amours de Grands parents ,
Perle- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dan229 a écrit:Je sais enfin ce qu'il faut faire.
Ni l'un ni l'autre, aujourd'hui la mode, c'est le congélo !!
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Le père adoptif l'a chicoté magistralement.
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Anaëlle- Bonaparte
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
violette a écrit:dan229 a écrit:Mes parents m'ont mis en pension durant toute ma scolarité. Même pendant les petites vacances, je restais au lycée.
Grâce à eux, j'ai eu une bonne situation.
J’ai vécu choyée et dorlotée au sein de ma famille sans jamais connaître ni pension ni colonies de vacances
J’avais tout à proximité : l’école, la salle de gymnastique, l’école de musique, le théâtre….
Élevée au sein d’une famille nombreuse aimante, sans gros besoins matériels, nous avons tous eu une belle situation
A peu près pareil, une famille aimante et surtout, SURTOUT, protectrice. Du patriarcat bienveillant, mon père et mes frères veillaient sur mes sœurs et moi sans nous interdire de sortir, de s'habiller comme on voulait ni de flirter. Fallait surtout pas nous emmerder. ( j'ai grandi en cité)
Une enfance merveilleuse, une adolescence et une jeunesse tout autant. On était pas riche mais on ne manquait de rien. Et les vacances c'était en famille chaque année en aout, pas question de nous envoyer en colo. On avait un point de rendez vous en Espagne, en convois sur la nationale ou l'autoroute, jusqu'a 5/6 voitures avec les grands parents maternels et paternels, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, les amis de mes parents, ceux des ainés de ma fratrie ( nous étions 7) les nôtres aussi et sur place on se retrouvait avec d'autres oncles, tantes, cousins cousines qui venaient de Lyon et de Marseille, des souvenir merveilleux. Les fêtes comme Noël étaient magiques, les dimanches chez mes grands parents a jouer en famille, au loto, aux cartes, aux dés... que de bons souvenirs..
Isa- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
C'est pô bien, mon enfant.
Tu vas faire pleurer la Sainte Vierge.
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
sans aucun problème , il faut savoir fixer des limites en tout
amicalement
dan26- Danton
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
- les profs bisounours avaient le bordel en classe.
- les profs qui ne rigolaient pas (sans être sadiques) avaient le respect des élèves.
Actuellement, les parents laxistes créent souvent des enfants difficiles, voire racailles.
Les parents stricts créent des enfants respectueux.
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dan229 a écrit:Tout au long de ma vie de prof, j'ai constaté :
- les profs bisounours avaient le bordel en classe.
- les profs qui ne rigolaient pas (sans être sadiques) avaient le respect des élèves.
Actuellement, les parents laxistes créent souvent des enfants difficiles, voire racailles.
Les parents stricts créent des enfants respectueux.
Stricts mais bienveillants , expliquant la raison d'une sanction si elle se présente , et , le meilleur moyen de ne pas en avoir. Encourager l'enfant dans sa progression vers un meilleur comportement.
J'enfonce des portes ouvertes?
Minathena- Danton
- Mina ZavattaUn nez rouge, un coeur d'or !MinaElle va vous épaterAddictionLe café c'est la vie
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Mistique et dan26 aimeraient passer le 14 juillet avec toi !
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Quand j'avais des félicitations, je n'avais qu'une envie : faire mieux encore.
Quand on a supprimé les notes, quelle aberration !
Je notais les élèves, pas par rapport aux voisins mais par rapport à eux-mêmes.
Ils devenaient des experts en Excel.
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dans une famille et dans une fratrie il faut établir des règles et un climat de confianceMinathena a écrit:dan229 a écrit:Tout au long de ma vie de prof, j'ai constaté :
- les profs bisounours avaient le bordel en classe.
- les profs qui ne rigolaient pas (sans être sadiques) avaient le respect des élèves.
Actuellement, les parents laxistes créent souvent des enfants difficiles, voire racailles.
Les parents stricts créent des enfants respectueux.
Stricts mais bienveillants , expliquant la raison d'une sanction si elle se présente , et , le meilleur moyen de ne pas en avoir. Encourager l'enfant dans sa progression vers un meilleur comportement.
J'enfonce des portes ouvertes?
ça va commencer par le respect entre les membres de la famille et apprendre aux enfants qu'ils ne sont pas les rois du monde
Mistique- Bonaparte
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dan26, Minathena et Danlé2k aimeraient passer le 14 juillet avec toi !
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Le résultat, les gosses ne sont pas des aigris comme vous dites ,mais des petits cons avant de devenir des gros cons
Durandal FL- Danton
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Vous êtes sûre que ce n'était pas aux Saintes-Marie-de-la-mer , votre rendez-vous familial ?Isa a écrit:violette a écrit:
J’ai vécu choyée et dorlotée au sein de ma famille sans jamais connaître ni pension ni colonies de vacances
J’avais tout à proximité : l’école, la salle de gymnastique, l’école de musique, le théâtre….
Élevée au sein d’une famille nombreuse aimante, sans gros besoins matériels, nous avons tous eu une belle situation
A peu près pareil, une famille aimante et surtout, SURTOUT, protectrice. Du patriarcat bienveillant, mon père et mes frères veillaient sur mes sœurs et moi sans nous interdire de sortir, de s'habiller comme on voulait ni de flirter. Fallait surtout pas nous emmerder. ( j'ai grandi en cité)
Une enfance merveilleuse, une adolescence et une jeunesse tout autant. On était pas riche mais on ne manquait de rien. Et les vacances c'était en famille chaque année en aout, pas question de nous envoyer en colo. On avait un point de rendez vous en Espagne, en convois sur la nationale ou l'autoroute, jusqu'a 5/6 voitures avec les grands parents maternels et paternels, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, les amis de mes parents, ceux des ainés de ma fratrie ( nous étions 7) les nôtres aussi et sur place on se retrouvait avec d'autres oncles, tantes, cousins cousines qui venaient de Lyon et de Marseille, des souvenir merveilleux. Les fêtes comme Noël étaient magiques, les dimanches chez mes grands parents a jouer en famille, au loto, aux cartes, aux dés... (de la guitare ) que de bons souvenirs..
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Diviciac a écrit:Vous êtes sûre que ce n'était pas aux Saintes-Marie-de-la-mer , votre rendez-vous familial ?Isa a écrit:
A peu près pareil, une famille aimante et surtout, SURTOUT, protectrice. Du patriarcat bienveillant, mon père et mes frères veillaient sur mes sœurs et moi sans nous interdire de sortir, de s'habiller comme on voulait ni de flirter. Fallait surtout pas nous emmerder. ( j'ai grandi en cité)
Une enfance merveilleuse, une adolescence et une jeunesse tout autant. On était pas riche mais on ne manquait de rien. Et les vacances c'était en famille chaque année en aout, pas question de nous envoyer en colo. On avait un point de rendez vous en Espagne, en convois sur la nationale ou l'autoroute, jusqu'a 5/6 voitures avec les grands parents maternels et paternels, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, les amis de mes parents, ceux des ainés de ma fratrie ( nous étions 7) les nôtres aussi et sur place on se retrouvait avec d'autres oncles, tantes, cousins cousines qui venaient de Lyon et de Marseille, des souvenir merveilleux. Les fêtes comme Noël étaient magiques, les dimanches chez mes grands parents a jouer en famille, au loto, aux cartes, aux dés... (de la guitare ) que de bons souvenirs..
Oui.
C'était là :
Isa- Marat
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Mistique n'a rien lu de plus beau depuis Victor Hugo !
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Isa a écrit:violette a écrit:
J’ai vécu choyée et dorlotée au sein de ma famille sans jamais connaître ni pension ni colonies de vacances
J’avais tout à proximité : l’école, la salle de gymnastique, l’école de musique, le théâtre….
Élevée au sein d’une famille nombreuse aimante, sans gros besoins matériels, nous avons tous eu une belle situation
A peu près pareil, une famille aimante et surtout, SURTOUT, protectrice. Du patriarcat bienveillant, mon père et mes frères veillaient sur mes sœurs et moi sans nous interdire de sortir, de s'habiller comme on voulait ni de flirter. Fallait surtout pas nous emmerder. ( j'ai grandi en cité)
Une enfance merveilleuse, une adolescence et une jeunesse tout autant. On était pas riche mais on ne manquait de rien. Et les vacances c'était en famille chaque année en aout, pas question de nous envoyer en colo. On avait un point de rendez vous en Espagne, en convois sur la nationale ou l'autoroute, jusqu'a 5/6 voitures avec les grands parents maternels et paternels, les oncles, les tantes, les cousins, les cousines, les amis de mes parents, ceux des ainés de ma fratrie ( nous étions 7) les nôtres aussi et sur place on se retrouvait avec d'autres oncles, tantes, cousins cousines qui venaient de Lyon et de Marseille, des souvenir merveilleux. Les fêtes comme Noël étaient magiques, les dimanches chez mes grands parents a jouer en famille, au loto, aux cartes, aux dés... que de bons souvenirs..
J'ai eu la même enfance et adolescence tellement heureuses que toi, Isa (sauf que je n'ai pas été en cité, mais à 7 et parfois 8 dans un F3), mais je crois que nous sommes des exceptions.
Poly- Marat
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
dan229 a écrit:Droopy ! J'ai un chien qui s'appelle Snoopy. Il nous mène la vie dure.
mon chien d avant celui que j ai s appelait droopy : un cas ! un mal elevé (lol) qui quand je le disputais , comme les gosses d auourd hui, me regardait de travers de son oeil noir l air de dire :"je t em...de" !manquait que la parole !
ben il s est pris quelques claques sur les fesses quand il me poussait a bout , et il n est pas mort de ca !
pour les gosses c est pareil !
droopy- Danton
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Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
amicalement
dan26- Danton
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Dede 2B n'a rien lu de plus beau depuis Victor Hugo !
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Mais d'abord essayer de comprendre le caractère de son enfant c'est primordial on ne peut adopter la même tactique avec tous .
Lysliane- Marie-Antoinette
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Mistique, Dede 2B et dan26 aimeraient passer le 14 juillet avec toi !
Re: Elever un enfant difficile : la carotte ou le bâton ?
Je lui ai raconté les faits.
"Pourquoi tu ne m'as rien dit avant ? T'inquiète, je m'en occupe avec le papa".
Une heure après, les mômes aînés se prenaient une magnifique correction. Depuis, on a retrouvé les doux bruits de la nature.
C'eût été en France que je risquais qu'on me dise :"Et alors ! Ce sont des gosses. Il faut bien qu'ils s'amusent". Et les tam-tams auraient redoublé... seulement pour m'emm.
Invité- Invité
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